Créer un site internet

L'INFAMIE DU CORAN

Le Coran enseigne la haine de l’autre à tous les musulmans, dès leur enfance

Publié le 15 juillet 2018 - par  - 42 commentaires - 1 047 vues

Dans la suite de l’article précédent, on rappellera le précepte d’aimer en Allah et de détester en Allah (en arabe).
On commencera par une vidéo Youtube qui illustre comment l’incitation à la haine envers les juifs est enseignée depuis la plus petite enfance dans le monde musulman. Si on veut chercher la source de l’antisémitisme dans le monde musulman, il faut voir comment le Coran déshumanise les juifs en affirmant qu’Allah a transformé une partie de leurs ancêtres « en singes et en cochons » :

Coran – antisémitisme :

https://www.youtube.com/watch?v=Qw6yVgp4vzU&t=27s

Mais la haine de l’autre ne se limite pas aux juifs. Comme l’islam ne se contente pas d’inciter à la haine et à la violence, mais instaure aussi des discriminations, on commencera par citer quelques articles, qui montrent les bases islamiques sur lesquelles se basent les discriminations envers l’enfance abandonnée et les femmes :
⦁ Le mariage de Mahomet avec Zaynab, la femme de son fils adoptif Zayd, est authentique :
https://ripostelaique.com/le-mariage-de-mahomet-avec-zaynab-la-femme-de-son-fils-adoptif-zayd-est-authentique.html

⦁ Lettre ouverte aux responsables musulmans : condamnez-vous le racisme du Coran ? :
https://ripostelaique.com/lettre-ouverte-aux-responsables-musulmans-condamnez-vous-le-racisme-du-coran.html

Le précepte de haine appelé en arabe : « Al Walaa wal Baraa », constitue un fondement du Dogme musulman (Al ‘Aqida en arabe). Il prescrit d’aimer en Allah et de détester en Allah. Ce précepte est traduit par l’expression : « L’alliance et le désaveu ». On précisera qu’il est identique aussi bien dans le Sunnisme, qui représente 85% des musulmans que chez les Chiites, qui forment le 15% restant.

Cette prescription d’aimer en Allah et de détester en Allah, découle directement de la notion fondamentale de l’islam : l’Unicité d’Allah (At-Tawhid). En effet, tout croyant musulman se doit de reconnaitre qu’il n’y a qu’un seul Dieu : Allah. Ce Dieu est unique et il est strictement interdit de lui associer qui que ce soit. La suite logique consiste à rejeter tout ce qui est adoré en dehors d’Allah et par voie de conséquence, les êtres humains qui adorent des divinités autres qu’Allah. Cette logique se base sur le fait qu’Allah lui-même exclut ces infidèles de son amour et les condamne au feu éternel. C’est le fondement du monothéisme absolu que prescrit l’islam.

Allah divise l’humanité entre ceux qu’Il aime et ceux qu’Il déteste

Dans le Coran, il y a une différence entre ceux qu’Allah aime, et ceux qu’Il n’aime pas. L’humanité est partagée en deux parties, comme le montrent ces versets du Coran :
(S61, V 4) : « Allah aime ceux qui combattent dans Son chemin en rang serré pareils à une muraille renforcée ».
(S3, V31-32) : (Ô Mahomet) adresse-toi ainsi aux croyants : « Si vous aimez vraiment Allah, suivez-moi, Allah vous aimera alors et vous pardonnera vos péchés. Obéissez à Allah et au Messager. Et si vous tournez le dos… alors Allah n’aime pas les infidèles ».
(S30 : V45) : «… En vérité, Il n’aime pas les infidèles ».

Ces versets mettent en évidence le fait que l’amour d’Allah est conditionnel. Il est réservé aux musulmans qui obéissent aux préceptes du Coran, avec cette conséquence terrible pour le reste de l’humanité : Allah les rejette de son amour, les déteste et les maudit. Ainsi, le Dieu du Coran n’a rien à voir avec le Dieu de la Bible qui porte un amour infini et inconditionnel à sa création. Si le Dieu de la Bible n’aime pas le péché, Il poursuit un objectif majeur : sauver le pêcheur, qu’Il aime d’une manière inconditionnelle.
Mais indépendamment de cet aspect théologique, la nature même de la divinité coranique implique des conséquences terribles sur l’ensemble de l’humanité. La haine que le Dieu du Coran voue à ceux qui refusent l’islam, doit être traduite dans les actes par ses fidèles : elle doit se concrétiser dans ce monde. Elle ne concerne pas le seul rapport entre la créature et son créateur, mais les rapports entre les êtres humains dans le monde où nous vivons.

Le précepte d’aimer et de haïr pour Allah dans le Coran

Dans le Coran, Allah ordonne à ses fidèles de mettre en pratique ce précepte dans la vie de tous les jours. Dans leur rapport avec autrui, le croyant doit réserver son amour pour ses frères dans la foi musulmane :
(S5 : V51) « Vous n’avez d’autres alliés qu’Allah, Son messager, et les croyants qui accomplissent la Salat, s’acquittent de la Zakat, et s’inclinent (devant Allah). Et quiconque prend pour alliés Allah, Son messager et les croyants, [réussira] car c’est le parti d’Allah qui sera victorieux. »

Dans ce même rapport avec autrui, le fidèle s’interdit toute forme d’amour sincère envers les personnes qu’Allah n’aime pas. Dans ce groupe, le Dogme musulman inclut tous les infidèles : les chrétiens, les juifs, les athées, les polythéistes, les apostats à l’islam, les hypocrites musulmans. Dans ce verset, le Coran précise :
(S2, V98) : « … car Allah est l’ennemi des infidèles ».

Ainsi, le Coran déclare « ennemi de Dieu » tous ceux qui refusent de se soumettre à l’islam. Et le Dieu du Coran en tant que divinité vindicative, se déclare l’ennemi de ces infidèles.
Les conséquences de cette rhétorique effrayante, sont claires comme de l’eau de roche : le fidèle ne peut se mettre en contradiction totale avec sa religion. Il est dans l’obligation d’avoir la même attitude que le Dieu qu’il vénère dans le Coran : il doit se considérer comme l’ennemi des infidèles.
Le Coran affirme que ce principe fondamental du credo islamique a été initié et mis en pratique par Abraham. En fait, l’islam et le Coran décrivent un Abraham très différent de l’Abraham biblique. La Bible présente Abraham comme source de bénédiction :
« Vous êtes les fils des prophètes et de l’alliance que Dieu a traitée avec nos pères, en disant à Abraham : Toutes les familles de la terre seront bénies en ta postérité », Actes des apôtres 3 :25.

Il en est tout autrement dans l’islam. Le Coran présente Abraham comme le premier musulman qui a prescrit l’inimitié et la haine éternelle envers les mécréants. Dans la sourate 60, Allah ordonne aux musulmans de suivre son exemple :
(S60, V4) : Certes, vous avez eu un bel exemple [à suivre] en Abraham et en ceux qui étaient avec lui, quand ils dirent à leur peuple : « Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d’Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l’inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu’à ce que vous croyiez en Allah, seul ».

En conséquence, Allah interdit à ses fidèles d’être proches par l’amitié, l’amour ou l’alliance avec ses ennemis d’une façon générale et les gens du Livre (les chrétiens et les juifs) en particulier, qui sont cités d’une manière explicite :
(S5, V51) : «Ô vous les croyants ! Ne prenez pas pour amis sincères (proches ou alliés) les Juifs et les Chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour amis, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes. »
(S60, V1) : «Ô vous qui avez cru ! Ne prenez pas pour ami Mon ennemi et le vôtre, leur offrant l’amitié, alors qu’ils ont nié ce qui vous est parvenu de la vérité ! »
(S3, V144) : «Ô croyants ! Ne prenez pas pour amis (ou alliés proches) les mécréants au lieu des croyants. Voudriez-vous donner à Allah une preuve évidente contre vous ? »
(S9, V23) : «Ô croyants ! Ne prenez pas pour amis (ou alliés proches), vos pères et vos frères s’ils préfèrent l’incroyance à la foi. Et quiconque parmi vous les prend pour alliés… ceux-là sont les injustes. »
(S3, V118-120) : « Ô croyants, ne prenez pas de confidents en dehors de vous-mêmes : les infidèles ne failliront pas à vous bouleverser. Ils souhaiteraient que vous soyez en difficulté. La haine certes s’est manifestée dans leurs bouches, mais ce que leurs poitrines cachent est encore plus énorme. »

La mise en application d’« Al Walaa Wal Baraa » par Mahomet et ses disciples

Pour montrer l’importance du précepte d’aimer en Allah et de détester en Allah, l’islam précise que Mahomet lui-même et ses disciples, ont appliqué ce précepte. Il est nécessaire pour tout fidèle de suivre leur exemple et de mettre en application les préceptes d’Allah dans le Coran :
(S58 : V22) : «Tu n’en trouveras pas, parmi les gens qui croient en Allah et au Jour dernier, qui prennent pour amis ceux qui s’opposent à Allah et à Son Messager, fussent-ils leur père, leur fils, leurs frères ou les gens de leur parenté. (Ceux qui respectent ce précepte) Allah a prescrit la foi dans leurs cœurs et Il les a aidés de Son secours… Allah les agrée et ils L’agréent. Ceux-là sont le parti d’Allah. Le parti d’Allah est celui de ceux qui réussissent».

Que ce soit Tabarri, Ibn Khathir dans leur exégèse du Coran ou les autres historiens des premiers siècles de l’islam, il y a unanimité dans l’explication de ce verset et les causes de sa révélation : il faut prendre en exemple les compagnons de Mahomet qui n’ont pas reculé devant le meurtre de leurs proches parents.

Les exégètes et théologiens musulmans des premiers siècles de l’islam, précisent les circonstances de la révélation de ce verset, en citant le comportement des compagnons de Mahomet envers leurs proches durant la bataille de Badr :
⦁ Abu `Ubaydah` Amir bin ‘Abdullah bin Al-Jarrah a tué son père infidèle, au cours de la bataille de Badr.
⦁ Abu Bakr (futur Calife ou successeur de Mahomet à la tête de l’État islamique fondé par Mahomet) avait l’intention de tuer son fils qui refusait de se convertir à l’islam.
⦁ Mus`ab bin` Umayr, a tué son frère, `Ubayd bin` Umayr.
Il y eu aussi, Omar et Ali, les futurs Califes, ainsi que Hamza qui n’hésitèrent pas à tuer des proches parents dans cette même bataille de Badr ».

Comme on peut le constater, il s’agit de véritables appels au meurtre. Et ces incitations à la haine, Allah ajoute le devoir de Taqiyat.

Le devoir de la dissimulation et du mensonge légal : la Taqiyat

Le précepte d’ « Al Walaa wal Baraa » comporte cette autre conséquence terrible : la Taqiyat envers les infidèles.
Le terme arabe « Taqiyat » désigne la pratique de la dissimulation et le mensonge légal pour le musulman qui vit en terre de mécréants.
Ce précepte de la dissimulation, du mensonge est prescrit dans le Coran :
(S3, V28) : «Que les croyants ne prennent pas, pour amis (ou alliés) des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux en utilisant la dissimulation (Taqiyat). Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même.»

Il y a une unanimité chez les exégètes musulmans (Ibn Khathir, Tabarri, Qurtubi…) qui expliquent ainsi la signification de ce verset : celui qui prend comme amis les infidèles, sera rejeté par Allah. Il y a une exception importante : les croyants qui craignent pour leur sécurité quand ils vivent dans des pays mécréants. Dans ce cas, ces croyants sont autorisés à utiliser la Taqiyat, en montrant l’amitié aux mécréants par la langue, mais jamais par le cœur.

Dans son recueil de Hadiths qui fait autorité dans l’ensemble de l’islam sunnite, Boukhari rapporte dans son recueil des Hadiths de Mahomet : « Nous sourions en face, mais nos cœurs les maudissent.» Dans ce recueil Boukhari rapporte cette prescription de Mahomet : « la guerre est traîtrise ». Il précise également que : « La Taqiyat ou mensonge légal, est autorisé jusqu’au Jour du Jugement dernier ».

Diffusé à l’échelle mondiale et dans toutes les langues, ce précepte de haine envers l’infidèle est aujourd’hui une réalité globale.
Cette haine est présente dans les discours des autorités religieuses et politiques musulmanes. Elle est dirigée contre tous les infidèles. Elle comporte une dimension raciste dans la mesure où elle vise et stigmatise des personnes appartenant à des groupes ethniques qui ont cette caractéristique commune : le refus de croire au Dieu du Coran.

Conclusions

La présentation succincte du précepte de « Al Wala-a wal Bara-a » nous a permis de constater l’étendue et la gravité du problème posé par l’incitation à la haine, au racisme, à l’antisémitisme et à la violence dans l’islam.
Il est aujourd’hui plus que jamais nécessaire de poser ce problème en toute clarté à nos autorités et aux responsables musulmans. Il faut absolument engager une lutte en toute transparence, sans tabous et sans complaisance envers cette idéologie de haine. Il faut exiger des responsables musulmans l’abrogation claire et officielle de ces préceptes qui sont à la base de la haine et de ses conséquences, avec en premier lieu le terrorisme. Sinon, comment imaginer le « vivre ensemble », quand on enseigne à des dizaines de millions d’enfants ces préceptes dans les mosquées, les écoles coraniques et les instituts musulmans.

Il est encore plus important d’exiger des associations et des institutions prétendues « antiracistes » qui relayent avec cynisme le mensonge d’un islam, religion d’amour, de paix et de tolérance. Il faut mettre ces associations et ses institutions devant leur responsabilité accablante dans l’occultation de la haine raciste enseignée dans le Coran. Il est vital que les peuples prennent conscience de la vraie nature des activités que mènent l’Organisation de la Coopération Islamique (ce monstrueux lobby international qui regroupe les 57 pays musulmans), et ceux qui relayent son idéologie comme le CCIF en France ou le CSIS en Suisse. Cette Organisation de la Coopération Islamique regroupe les 57 pays musulmans, en un lobby international disposant de moyens immenses. Elle a le statut d’observateur dans l’ONU et exerce une pression permanente sur les pays occidentaux, qui sont sommés d’obéir à ses injonctions. Sous le masque hideux de la « lutte antiraciste contre l’islamophobie », elle impose une chape de plomb sur l’enseignement de la haine raciste dans le Coran et les textes fondateurs de l’islam.

Toutes les nations occidentales et toutes les organisations internationales (ONU, Conseil des Droits de l’Homme, Union Européenne etc.) gardent un silence honteux sur les versets du Coran et les Hadiths de Mahomet qui incitent à la violence, au meurtre et à la haine.
On ne voit nulle part des responsables politiques ou des chefs d’État qui oseraient demander aux pays musulmans l’abrogation de ces préceptes de haine raciste. Cette attitude est honteuse. On ne dénonce jamais le racisme, l’esclavagisme et les discriminations quand ils sont enseignés et prescrits par l’islam.

On trahit la vraie lutte contre le racisme, puisqu’on renonce à lutter contre le racisme sous toutes ses formes. Renoncer à cette lutte, c’est abandonner à leur sort les millions de personnes victimes des persécutions et des discriminations à caractère raciste institutionnalisées dans les législations officielles des pays musulmans. Toute complaisance envers la source islamique de ces discriminations qui frappent des dizaines de millions de victimes, relève du racisme le plus abject.

Zohra Nedaa-Amal

TOUT SUR LE CORAN ET L'ASSASSIN QUI LA CREE: MAHOMET

Dans les Lettres persanes, Montesquieu faisait poser la question « comment peut-on être Persan ? » par deux Persans (des Iraniens de l’époque) en visite à Paris. Elle illustrait l’étonnement de bourgeois parisiens devant leur différence avec des gens qui ne leur ressemblaient pas.

Maintenant, trois siècles après, la question reste pertinente : comment peut-on être musulman ? En clair, quand on vit dans un monde moderne, qui progresse chaque jour dans les domaines scientifiques, la santé, la connaissance du monde où nous vivons,  comment peut-on croire à ce fatras de fadaises qu’est le coran et comment peut-on dédier sa vie à suivre tout ce qu’il raconte aveuglément.

Résumé des épisodes précédents. Je vais le faire en version moderne, on ira à l’essentiel.

Aux alentours de l’an 600, un type dénommé Mahomet qui vivait à la Mecque a décidé de monter sa propre religion. Il s’est dit qu’après les juifs, qui avaient eu leur révélation de Dieu, les chrétiens qui avaient eu Jésus envoyé spécialement pour leur réexpliquer ce qu’il fallait faire (les juifs n’avaient pas bien compris le message), il avait décidé, Dieu, dénommé Allah pour la circonstance, de leur envoyer devinez qui ? Bingo !  Mahomet le seul et unique représentant agréé de Dieu sur terre. Et cela pour la troisième et dernière fois, car il en avait marre de répéter la même chose, Dieu. Ce scénario permet d’ailleurs aux musulmans de prétendre que, dernier arrivé, l’islam est la religion la plus moderne et la plus aboutie, alors que les autres sont des brouillons. On croit rêver.

Donc, au départ, tout allait bien. Mahomet se mit à écrire son livre, les autres prophètes des autres religions ayant fait pareil, qu’il appela le coran. Mais bon, le coran et les paragraphes qui le composaient, les sourates, étaient très largement inspirées de  la torah des juifs et de la bible des chrétiens. Et les juifs et les chrétiens étaient des frères et hautement considérés, des amis dignes de confiance et d’estime.

Mahomet et sa bande (il s’était fait pas mal d’émules et de disciples) commençaient néanmoins à devenir un peu encombrants de par la virulence de leurs prêches et leurs discours enflammés. Bref, ils se sont fait virer de la Mecque avec la menace de se faire dessouder par des gangs adverses.

Après ce que les musulmans appellent l’hégire, la fuite à Médine, Mahomet et ses acolytes font littéralement main basse sur la ville.

C’est alors que Mahomet décide de changer son plan marketing. Sa religion ne prend pas – il vient de se faire virer de la Mecque – et il décide donc de changer complètement d’orientation. Il rédige donc, à partir de ce moment-là, certaines orientations du coran lourdes de conséquences, que l’on peut résumer ainsi :

  • Il n’y a qu’un seul dieu, Allah. Les autres ne sont rien. Les autres religions ne sont rien. Mieux même, Allah est au-dessus de toutes choses, y compris toutes les idées humaines. Et donc, en conséquence, tous les systèmes politiques, les idées qui structurent la société sont caducs et s’effacent devant l’islam. Donc, quel que soit l’endroit où il habite, le pays où il vit, un musulman est avant tout un musulman. C’est la supranationalité musulmane (8) qui s’impose et met en danger tous les systèmes politiques de la planète.(13)
  • Le coran est intouchable, il est incréé, c’est-à-dire qu’il a été directement dicté par Dieu et on ne touche pas à la parole de Dieu. De ce fait, toute tentative de modification ou d’amendement du coran est vouée à l’échec et passible de mort. Les os de ceux qui ont essayé de le modifier blanchissent dans les sables du désert.
  • De ce fait, les pratiquants des autres religions, en particulier les religions du Livre, deviennent l’ennemi absolu et la décision est radicale. Il faut les tuer. Dans la pratique, on laisse aux juifs, aux chrétiens et aux mécréants le choix entre trois options :
    • Soit ils se convertissent et viennent grossir les rangs des adeptes de l’islam.
    • Soit ils meurent, car on les tue…
    • Soit ils payent pour un genre de « droit de vivre » (4) en territoire d’islam. Cette option est renouvelable mais peut aussi être révoquée à tout moment selon l’humeur du temps et donc on repasse à l’option 2.

Tout bon musulman se doit d’appliquer ces règles. Mais, de préférence, les mécréants doivent être tués. Allah est un dieu vengeur.

  • Ceux qui veulent sortir de l’islam, renier cette religion deviennent des apostats et les apostats sont assimilés à des mécréants et donc doivent être tués. De même, le coran doit être respecté et pratiqué dans son ensemble et aucune partie ne peut être négligée ou laissée de côté et toute déviation équivaut à l’apostasie, donc à la mort. On ne sort pas de l’islam, si ce n’est les pieds devant.
  • Tout bon musulman se doit de se perfectionner dans l’islam et il introduit la notion de djihad (1). Le problème est que cette notion est interprétée de différentes manières. La plus pratiquée consiste à propager l’islam par l’épée, à aller tuer du mécréant et à étendre le territoire de l’islam, agrandir l’oumma. (16)
  • Pour se protéger vis-à-vis de l’ennemi (les mécréants), le musulman est autorisé à mentir, tromper et dissimuler : la taqîya (2) qui consiste à dissimuler ou à nier sa foi sous la contrainte afin d’éviter la persécution. Cette pratique est permise dans le cas où un musulman fait face à une menace ou si sa vie est en danger en territoire mécréant. En pratique, ça donne, par mauvaise interprétation et abus, l’autorisation à tout musulman de mentir en toutes circonstances, au gré de ses humeurs. Pensez-donc, un dieu qui autorise à mentir, ça ne se refuse pas…
  • Dans un rêve, Mahomet va à Jérusalem (3). Il n’y va pas vraiment, il en rêve. Le vol mystique de la Bouraq est une tentative claire de s’approprier le principal lieu saint des mécréants. Mahomet n’a jamais mis les pieds à Jérusalem, mais tout ce qui peut contribuer à mettre à bas les autres religions est le bienvenu. Plus de 14 siècles après, on mesure la portée de cet épisode du coran et les revendications islamiques sur cette ville, Jérusalem, éternel problème.

Toutes ces dispositions annulent et remplacent tout ce qui avait été écrit antérieurement dans le coran de la Mecque. Le vrai coran, celui que se doivent de pratiquer les musulmans, est celui de Médine, la partie de la Mecque n’étant qu’un genre de trompe-l’œil. L’amour des chrétiens et des juifs est remplacé par la nécessité de les tuer et de les détester (et accessoirement de violer, mutiler et faire des razzias dans les territoires chrétiens) et un ensemble de préceptes qui verrouillent le coran, le rendent omnipotent, intouchable et universel…

Cela explique d’ailleurs la violence, les exactions exercées dans les territoires qui ne font pas partie de la maison de l’islam, l’oumma. Pour un musulman, un pays qui ne fait pas partie de l’Oumma (en clair l’OCI (17) ) est un territoire à conquérir où l’on peut tout se permettre. La France fait partie de ces territoires en cours de conquête et donc le meurtre (par égorgement de préférence, à « l’ancienne »), le viol, le pillage, le vol sont, de fait, permis, autorisés et même encouragés par l’islam. Ce sont des instruments de conquête, au même titre que le voile, la charia, le halal et tout le fourbi.

Le coran est aussi rédigé de manière fort opportune de manière à excuser, justifier même, les agissements de Mahomet. Petit extrait  :

  • Il se marie avec Aïcha, 7 ans, et le mariage est consommé vers les 9-10 ans de la fillette
  • Il a tué de ses propres mains ou fait tuer des milliers de juifs et de chrétiens
  • Il a séduit la femme de son fils adoptif

Mais tout ça est excusé, justifié et devient, de fait, une norme pour tous les pratiquants de l’islam. On en voit les conséquences tous les jours.

Mahomet une fois mort, les musulmans en sont réduits à essayer d’interpréter sa parole : qu’aurait fait Mahomet dans tel ou tel cas précis ? Si tu voles un scooter, qu’aurait dit, qu’aurait jugé Mahomet ? Donc les imams ont créé les hadiths (5) qui sont un genre de manuel de l’utilisateur du coran mais qui, hélas, sont une collection de superstitions, approximations et, il faut bien le dire, de pensées ridicules (6) ou contraires au bon sens le plus élémentaire. Ou, parfois, plus lourdes de conséquences, comme l’interdiction de dessiner, caricaturer ou représenter le prophète. Cela nous vaut aussi des interprétations loufoques qui nous amènent le port du voile, l’interdiction du porc, la non-mixité, en clair, la charia et sa cohorte d’absurdités.

Toute personne qui connaît bien le coran peut prétendre à devenir imam (7). Sauf les femmes, bien sûr, faut pas exagérer. Et un imam peut promulguer des fatwas (11) qui sont des jugements coraniques mais avec leur lot de stupidités encore plus fourni que les hadiths. (12)

Alors, je repose la question : comment peut-on être musulman ? Comment peut-on adhérer à une idéologie – ce n’est plus une religion à ce stade de coercition – aussi violente, stupide et ignorante de l’humanité ? Comment peut-on dire également que cette religion est une religion de paix et d’amour alors qu’elle répand, à longueur de sourates, des appels au meurtre, la haine des mécréants et la destruction de tout ce qui n’est pas musulman ? (10)

Comment peut-on exiger le respect de cette idéologie ? On ne peut respecter que ce qui est digne de respect et là… attention : pour un musulman, respecter c’est obéir. Respecter, c’est déjà mettre le doigt dans l’engrenage de devenir musulman.(15)

Dans tout ce qui précède, on voit bien que le musulman modéré, le musulman de la moyenne n’existe pas. En fait, tout musulman dépend des enseignements des imams qu’il a croisés dans sa vie et du niveau d’implication de sa famille. Si l’imam du coin pratique l’islam tendance la Mecque, ça peut encore aller, mais s’il pratique le vrai coran, celui qui est défendu par les salafistes, les frères musulmans et Daesh (9) , il est alors du côté de l’islam « pur », celui qui veut conquérir la planète par la force et convertir et tuer à tout crin. Et l’islam est un continuum, c’est-à-dire qu’un musulman peut passer du coran mecquois au coran de Médine en un battement de cil. Une feuille d’impôt qui ne plaît pas ? Une remarque déplacée ? Un salafiste croisé lors d’un prêche très convainquant ? Tout musulman peut basculer d’un seul coup de la bienveillance au fanatisme absolu. Un musulman modéré est un djihadiste en sommeil. (18)

Donc, encore et encore, comment peut-on être musulman ? Comment peut-on aliéner aveuglément sa vie, ses croyances, ses valeurs au nom d’un livre écrit il y a plus de 1400 ans par un bonhomme inculte, vindicatif – et le mot est faible – assis dans sa tente sans aucune connaissance réelle du monde qui l’entoure ni la bienveillance que l’on peut attendre de préceptes de vie ?

La vérité m’oblige à poser la question de manière plus générale : comment au 21esiècle peut-on être croyant d’une religion, quelle qu’elle soit ? Comment peut-on mener sa vie en suivant aveuglément un prêt-à-penser tout fait, des préceptes pondus il y a des milliers d’années par des illuminés, certes parfois de bonne foi, mais qui sont plus poussés par leur ego ou leur pathologie mentale ? Comment peut-on s’en remettre à des préceptes écrits il y a des lustres et déformés, interprétés, manipulés par des hommes faillibles et corruptibles (pouvoir, argent, gloire) ?

Bien sûr, ne nous voilons pas la face : l’obscurantisme, la noirceur de tout ça n’a pas échappé à ceux dont l’intérêt – politique, entre autres – est de maintenir les populations sous cette domination pseudo-spirituelle. Il y a pas mal de gens, de groupes que tout ceci arrange et qui ne se font aucune illusion sur la réalité de leur discours.

Mais quand même, à titre individuel, en conscience, comment peut-on ignorer, au profit de croyances d’autres âges, les progrès que l’on fait tous les jours sur la connaissance de l’humanité et de l’univers et qui vont, bien souvent, à l’opposé des textes anciens démodés, incultes, ignares ou totalement dépassés ?

Personnellement, je ne crois pas au mythe du gars assis sous sa tente qui trouve la magie et l’explication du monde simplement par la réflexion et la concentration, sans mettre le nez dehors ni rien savoir de ce que des millions de chercheurs, scientifiques, philosophes et penseurs ont, eux, trouvé depuis quelques dizaines d’années.

Je me sens plus proche de l’allégorie de la caverne de Platon (14) que de toutes ces religions qui, à mon avis, et ce n’est que mon humble avis, nous pourrissent la vie.

Au final, la vraie question qui se pose quand on découvre la vraie nature de l’islam est, en vérité, non pas « comment peut-on être musulman ? » , qui est en fait un problème secondaire, mais plutôt, comment l’arrêter ? Comment l’interdire ? Comment le contrer ? Il n’y a pas d’états d’âme à avoir. C’est un immense danger qui ne cesse de croître. L’avenir que nous construisons nous le dira. Nous en sommes tous responsables.

Pierre Bleven

Date de dernière mise à jour : 25/08/2018

Ajouter un commentaire

Anti-spam