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LA GUERRE CIVILE EST POUR DEMAIN...

 

La guerre civile d’ici cinq ans ?
François Hollande évoquait le risque de « partition » du pays.
En quittant ses fonctions, l’ex-premier flic de France, l’homme le plus au fait de la situation explosive qui règne dans nos banlieues, avait lancé sa grenade dégoupillée dans les rangs de la bien-pensance.
“Aujourd’hui, les quartiers sont soumis à la loi du plus fort, qui n’est plus la nôtre.”
“Nous vivons côte à côte, je crains que demain nous ne vivions face à face.”
Et dans un article à paraître dans Valeurs Actuelles, voici ce que disait Gérard Collomb, encore ministre de l’Intérieur.
« Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble… Je crains la sécession. »
– Quelle est la part de responsabilité de l’immigration ?
« Énorme (…) »
– Vous pensez qu’on n’a plus besoin d’immigration en France ?
« Oui, absolument »
« Des communautés en France s’affrontent de plus en plus et ça devient très violent… »
« Je dirais que, d’ici à 5 ans, la situation pourrait devenir irréversible. Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire. Après… »

Voilà le résultat de 40 années de lâcheté, 40 années de trahison, 40 années de mensonge de nos élites, qui ont livré le pays à la loi des caïds et des barbus, laissant des pans entiers du territoire s’ensauvager et se transformer en mini-califats.

La France est désormais au bord de la guerre civile. Tel est le message de Gérard Collomb, que le pouvoir tente de minimiser et que la presse aux ordres a enterré.

Le pire est que tout cela était annoncé depuis des décennies. Nombreux sont les lanceurs d’alerte qui ont sonné le tocsin, à commencer par Jean-Marie Le Pen, qu’on a préféré diaboliser, et les services de renseignement qu’aucun chef d’État n’a écoutés.

Car il n’y a pas que les musulmans qui pratiquent la taqîya. Nos politiques sont passés maîtres dans l’art de la dissimulation.

Fillon avait enterré en 2004 le rapport Obin qui sonnait l’alarme sur la dramatique islamisation de l’école. Les profs ont peur. La violence, impensable il y a trente ans, a envahi l’école.

Commissariats et forces de police sont régulièrement attaqués en toute impunité. L’État de droit est chaque jour bafoué.

Nous avons eu des mutineries de marins musulmans dans la Marine nationale, des soldats musulmans ont refusé de partir en Afghanistan, au prétexte qu’un musulman ne peut tuer d’autres musulmans. Foutaises, puisque ça fait 14 siècles que sunnites et chiites s’entretuent !! Tout a été caché ou minimisé, alors que ces incidents au sein de notre armée étaient gravissimes.

Voilà où mènent la lâcheté, le renoncement permanent et la soumission du pouvoir à l’islam, par peur de faire des vagues, par crainte des émeutes.

Nos policiers ont été littéralement désarmés et ont été privés de toute autorité, par peur d’un embrasement généralisé de type 2005 à la puissance 10. Capituler, encore et toujours, tel est le credo de nos élus, qui ne pensent qu’à leur réélection mais jamais à la France.

Tous nos responsables politiques ont imposé l’omerta, alors que les islamistes n’ont jamais caché leur volonté de soumettre l’Europe à la charia.

Youssef al-Qaradawi, Marwan Muhammad et bien d’autres, ont toujours annoncé la couleur. On ne peut les taxer d’hypocrisie. Les sournois, ce sont nos dirigeants, parfaitement informés, mais complices de la destruction du pays.

Nos élites sont toutes coupables d’avoir mis la France en grand danger, élus, journalistes, intellectuels et autres faiseurs d’opinion, tous sont responsables de l’éclatement de la société et du chaos généralisé qui s’annonce.

La justice s’est montrée implacable envers les opposants à la pensée unique politiquement correcte. On ne compte plus les victimes du terrorisme intellectuel qui ont été broyées par cette mécanique totalitaire implacable.

Comme le dit Philippe de Villiers dans son nouveau livre, “Le Mystère Clovis”, nous vivons la fin de la civilisation occidentale, comme la chute de l’Empire romain.

À la différence près que l’Empire romain a mis cinq siècles à s’effondrer, alors que depuis mai 68, nous aurons mis un demi-siècle à nous autodétruire.

Mais pour de Villiers, la situation est bien pire qu’à l’époque de Clovis et des Grandes Invasions.

Car les Barbares, très minoritaires, ont été assimilés par la “romanitas”, l’esprit et les coutumes de Rome.

Alors que parmi nos millions d’immigrés musulmans, les plus fanatiques ont imposé leurs exigences communautaristes et considèrent la France et l’Europe comme une terre de conquête.

L’islam radical a supplanté nos règles d’assimilation, à cause d’un esprit capitulard, pour ne pas dire anti-Gaulois, qui domine chez nos élites droguées à l’idéologie mondialiste.

La société multiculturelle paradisiaque que nous ont vendue les traîtres qui nous gouvernent, se révèle n’être qu’une société « multiconflictuelle »  qui nous mène au chaos.

En supprimant les frontières, nous avons signé l’arrêt de mort de notre identité.

Le projet de Macron et des mondialistes, c’est de créer un nouvel individu, “sans nation, sans famille et sans mémoire”. Un robot devenu un simple consommateur totalement soumis.

Et dès que les peuples se révoltent par les urnes, cette élite anti-occidentale hurle aussitôt au “populisme”, comme elle vient de le faire avec l’élection de Jair Bolsonaro au Brésil.

Ce n’est pas l’islamisation de la France et la disparition du peuple gaulois que craint Macron. Ce qu’il craint, c’est “la lèpre populiste” qui pourrait évincer les mondialistes du pouvoir et mettre fin à la funeste entreprise de démolition de la civilisation occidentale.

La question vitale est donc de savoir si la France peut encore être sauvée du naufrage et éviter la guerre civile que souhaitent les islamistes. Une hypothèse loin d’être un fantasme, tant nos élus s’acharnent à aggraver la situation au nom du « vivre-ensemble ».

Avec la clique actuelle au pouvoir, la réponse est “non”.

La France n’a pas de Trump, de Salvini, d’Orban ou de Bolsonaro, assez courageux pour  fermer les frontières et se lancer dans la reconquête des quartiers en imposant l’ordre républicain aux barbus et aux caïds, qui défient le pouvoir depuis des décennies.

De Villiers cite Soljenitsyne, analysant l’erreur des dirigeants occidentaux :

“L’Occident croit que la politique se confond avec l’économie. La politique, c’est la civilisation.”

Et en véritable visionnaire, Soljenitsyne ajoutait :

“Les dissidents étaient à l’Est, ils vont passer à l’Ouest.”

En effet, les populistes sont les résistants et les dissidents qui s’opposent à la dictature mondialiste.–

Le peuple français n’a plus que deux solutions : le vote populiste massif pour reprendre son destin en mains et éviter le pire, ou reconduire les fossoyeurs de la nation, qui sèment les germes de la guerre civile.

Jacques Guillemain

 

Date de dernière mise à jour : 01/11/2018

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