Capture d'écran: Mosquée Tariq ibn Ziyad des Mureaux - Youtube .
Bonjour
Savez qu’il y aurait plus de 600 mosquées radicales en France, dont certaines font l’apologie du djihad et entretiennent un climat de pré-guerre civile ?
Ce chiffre ahurissant est donné par le journaliste Joachim Veliocas, auteur de « Mosquées radicales : Ce qu’on y dit, ce qu’on y lit » aux éditions Dominique Martin Morin (novembre 2016) :
« Il y aurait à peu près 600 mosquées à fermer sur 2600, le phénomène a dépassé le seuil où les choses auraient pu se régler sans grands heurts » déclare, à titre d’exemple, l’auteur dans un entretien accordé au blog « Le Rouge et le Noir ».
Il ajoute que « à la mosquée des Mureaux et Longwy, un savant saoudien rappelle qu’il faut tuer les apostats qui ont abjuré l’islam ».
D’après M. Veliocas, « les salafistes contrôlent 110 mosquées, malgré la grosse vingtaine de lieux de cultes fermés depuis l’état d’urgence. Les Frères Musulmans de l’UOIF contrôlent une centaine de mosquées, réparties jusque dans les départements ruraux de l’Allier (une mosquée à Vichy) et le Poitou (une mosquée à Poitiers). Ils n’ont qu’une patrie, la « nation de l’islam » qui transcende les origines de ses membres, surtout des tunisiens et des marocains. »
« Le Millî Görüs dont l’idéologie est la même que les Frères, a dépassé la vingtaine de mosquées et élargi son maillage avec des mosquées jusqu’à Châteaudun (Eure-et-Loir), Vendôme, Blois, Clermont-Ferrand. »
Cette dernière organisation, très liée au président islamiste de la Turquie, est celle qui pilote, vous vous en souvenez, la construction d’une gigantesque mosquée à Strasbourg contre laquelle vous avez protesté.
Répondant aux questions de Causeur, M. Veliocas dénonce la pratique d’un « séparatisme culturel » de la part du réseau turque : « autour de ces mosquées se structurent des communautés qui vivent en vase clos » avec pour but final l’instauration d’un « califat politique. »
Les autres courants islamistes qui pullulent sur notre territoire ne sont guère plus rassurants…
Les tablighis, par exemple, sont dans « dans le mimétisme et l’application du mode de vie musulman du VIIe siècle ».
« Ils peuvent partir (en mission) plusieurs semaines dans des régions reculées de France : la gendarmerie a même repéré des tablighis arpentant des zones rurales de l’Auvergne en groupes de dix habillés comme les salafistes (barbe et qamis), à la grande surprise des riverains », poursuit-il.
Les salafistes, quant à eux, auraient progressé de +170% selon une note de juin 2016 du Service Central du Renseignement, citée par Joaquim Veliocas.
Ils seraient maintenant plus de 50 000 dans notre pays.
Et comme si cela ne suffisait pas, les prédicateurs radicaux se servent d’internet pour diffuser leurs prêches.
« YouTube et les mosquées sont liés ! (...) Le salafisme est « boosté » par ces prédicateurs qui officient à la fois dans des lieux physiques et sur la toile », note M. Veliocas.
Le courageux journaliste dénonce l’impunité dont bénéficient les islamistes : « le pouvoir socialiste d’Emmanuel Macron n’osera fermer ces mosquées, elles ont été un puissant levier électoral pour lui apporter des voix ».
Vous comprenez maintenant pourquoi il y a des milliers de Français qui s'inquiètent pour la construction d’une immense mosquée turque à Strasbourg !
En quelques jours, déjà 11200 personnes ont signé la pétition d’Avenir de la Culture « Non à la mosquée turque dans Strasbourg ! » adressée au maire de la capitale alsacienne, M. Roland Ries.
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